Biographie

Président-fondateur de la GACI ( la Génération Active de Côte d`Ivoire ).

Moustapha Kamaté s’est très tôt lancé dans l’entrepreneuriat. Et le souci constant de s’installer à son propre compte l’amène à créer “Kayas Services”. Une entreprise qui évolue dans le domaine du BTP (bâtiments et travaux publics).

Natif de la commune d’Adjamé et la proximité permanente avec les commerces de cette cité depuis sa tendre enfance, Moustapha Kamaté a bien vite compris la nécessité de l’entrepreneuriat. Le succès professionnel, selon lui, repose à priori sur les compétences personnelles, la capacité à entreprendre et à conduire sa propre activité. Il a compris que, l’Etat premier employeur, ne pouvait toujours pas offrir sur un emploi a notre convenance sur un plateau d’or.

Fort de ces remarques pertinentes, il est parvenu cahin caha à se frayer un chemin en créant une entreprise qu’il dirige aujourd’hui à son aise. Humaniste né et ayant du coeur a l’ouvrage, Moustapha Kamaté a jugé utile de mettre en place une organisation dont l’objectif principal est non seulement d’aider la jeunesse à s’insérer dans le tissu économique mais surtout de développer chez elle l’esprit d’entrepreneuriat.

Au fil du temps, les choses vont s`améliorer. En 2013, il crée alors le mouvement “Génération Active de Côte d`Ivoire (GACI)”. « Une génération décomplexée soucieuse de son avenir et de celui de toute une nation », explique-t-il.

Mieux, «Une génération qui exprime l’ambition d`exister, poursuit-il, à travers des valeurs et modes de fonctionnement qui viennent en conflit avec le système politique tel qu`il existe actuellement. Un mouvement qui appelle la jeunesse à regarder ensemble le chemin à parcourir pour qu’il puisse se comprendre et faire de leurs différences ...des vraies complémentarités ».

Il met un point d’honneur au fait que l’avenir se prépare mieux, se construit et la relève en Côte d’Ivoire appartient à cette jeunesse consciente de cette vision avec des ambitions claires. A Cocody, la jeunesse des différents quartiers qu’il visite à l’occasion de ses activités du mouvement GACI entend régulièrement ce message.