BABA COULIBALY Nicolas
Journaliste professionnelNationalité : Ivoirienne
Biographie
//=nl2br($data['description']);?>Baba Coulibaly Nicolas a écrit son premier article en Janvier 2000 au quotidien « Le Jeune Démocrate ». Il était alors étudiant à l’Université de Bouaké. « Ce jour là, j’ai présenté le journal contenant mon article et ma signature à tout les habitants du campus (…) J’ai été inspiré par Parfait Kouassi, anciennement journaliste à « Le Jour » et actuellement fonctionnaire à l’ONUCI. C’est un garçon hyper intelligent qui a toujours su ce qu’il voulait. Je lui dois tout. J’ai été aussi guidé dans mes pas par des aînés comme JMK Ahoussou, Loss Zoromé, Charles D’Almeida, Touré Moussa, Dembélé Al Sény, Youssouf Sylla et Meité Sindou » explique Nicolas. « J’adore lire les chroniques et éditoriaux signés Koré Emmanuel, Théophile Kouamouo, Charles Sanga, Jean Baptiste Akrou, Venance Konan et Dénis Kah Zion qui m’inspirent, je vous assure», affirme t-il.
Curriculum vitæ
Pendant une année il travaille avec feu Dassohiri Ignace (Directeur du Jeune Démocrate). Il dépose par la suite ses valises au Groupe Olympe, la société éditrice des quotidiens Soir Info et l’Inter. « Le Pigiste », comme aimaient à l’appeler au campus II de Bouaké (Huambo) ses amis et voisins de chambre, reste dans l’anonymat jusqu’à ce que déclenche la crise de 2002. Quand éclate cette crise armée du 19 Septembre 2002, alors que tous les journalistes locaux fuyaient Bouaké où restaient chez eux, lui sillonnait ces villes sous contrôle du MPCI, du MJP et du MPIGO à la recherche d’éléments d’information pour ses reportages.
Baba Coulibaly Nicolas sillonnera durant deux ans avec tous les risques à la clef Bouaké, Korhogo et Man alors que les armes crépitaient encore. « Autant on me soupçonnait d’être un espion dans la zone gouvernementale, autant on m’accusait d’être loyaliste dans la zone Forces Nouvelles. Je me rappelle avoir été arrêté trois fois à Yamoussoukro par les troupes gouvernementales et interrogé par l’ancien comthéatre, actuel CEMA, le Général Mangou Phillipe et l’actuel Commandant de l’ENSOA, le colonel Zamblé Eugène qui sont finalement devenus des amis. A Bouaké l’ex-redouté chef de guerre Konaté Daouda m’a mis en prison sans que je ne sache pourquoi. Mais quand Wattao l’a appris il s’est fâché et est venu me libérer. Il a dit à Konaté Daouda qu’on ne s’attaque jamais à un journaliste. Moi je ne me reprochais rien puisque je ne faisais que mon travail. Mille fois merci au grand frère Alain Lobognon qui, à plusieurs reprises, m’a sorti de plusieurs conflits avec certains chefs de guerre», note t-il encore, sourire au coin.
Très vite remarqué, BABA Coulibaly Nicolas est sollicité par des agences de presses internationales et autres chaines de télévisions mondiales pour faire partie de leurs équipes. Tout en continuant ses prestations avec L’Inter, il finit par accepter de travailler pour deux agences.
Il s’agit de la prestigieuse agence britannique Reuters d’une part et Panapress d’autre part. Parallèlement, il est sollicité par des journaux internationaux comme El mundo et des chaînes de télé comme TVE et des Agences comme Associeted Press (Agence de Presse Américaine) en tant que consultant.
Marié à une jeune polytechnicienne actuellement gestionnaire de comptes dans une banque de la place, père de deux charmantes fillettes, il quitte en 2004 le groupe Olympe pour « Le Patriote » où il est affecté au Service Politique de ce quotidien. Quand il s’est agit du vote au parlement des lois issues de l’accord de Linas Marcoussis, BABA Coulibaly Nicolas, né un 7 décembre 1977, fut désigné par son Chef de Service pour suivre à l’Assemblée Nationale les débats. C’est dans ses reportages qu’il est très vite remarqué par l’ancien Président de la Commission Electorale Indépendante, Monsieur Robert Beugré Mambé.
Ce dernier lui fit appel pour faire partie de son service de communication. En octobre 2006, il démissionne de « Le Patriote » pour se consacrer aux activités électorales. Journaliste professionnel, Titulaire d’un Master en Communication, option journalisme et d’un DEUG 2 en Droit, Baba Coulibaly Nicolas est un fanatique du journalisme et reste un amoureux du travail bien fait. « Depuis ma classe de CE1 à Dualla dans la région de Séguéla où enseignait mon père, j’avais juré de devenir comme Levy Niamkey, feu Noufé Nabi et feu Joseph Diomandé c`est-à-dire journaliste. Ces Messieurs ont eu une influence sur ma vie depuis mon bas âge. Je les adorais », poursuit-il.
Pendant ses week-ends, heures creuses et vacances, ce fanatique de Ségolène Royale (ancienne candidate à la présidentielle française) se consacre à son site internet, www.placesante.com. Un site spécialisé dans le traitement de l’information médicale et de toutes les questions qui rentrent dans le cadre du bien être de l’Homme. « Sur ces questions au moins tout le monde est d’accord. Peu importe votre qualité, votre profession et votre fonction. La santé et le bien être sont nos dénominateurs communs » affirme t-il pour expliquer la création de ce site qui lui tient à cœur depuis trois ans.